Cas particulier du syndrome de Guillain-Barré subaigu

Généralement, on préconise de ne pas trop fatiguer un malade en cours de récupération. Surtout pour les malades atteints de la forme axonale subaigüe. Il y a quelques années, certains praticiens suggéraient de « plâtrer » les bras ou jambes de malades qui s’exerçaient trop, de leur point de vue.

Or, Claude Pinault durant son hospitalisation a fait le contraire, en pratiquant des exercices actifs de rééducation. Malgré la fatigue il a toujours souhaité continuer l’entrainement.

Et finalement le résultat a été au delà des espérances, puisqu’aujourd’hui il marche à nouveau.

C’est une maladie auto-immune, qui survient sans explication médicale avérée.

On constate que c’est le corps détruit ses propres nerfs. La possibilité que le corps puisse se reconstruire lui-même, est une donnée que le malade doit soutenir activement.

Au-delà de l’aide physique par des exercices répétés, il ne faut pas négliger la possibilité d’une aide psychologique, mentale par une attitude volontaire de visualisation des mouvements.

C’est ce que Claude Pinault décrit dans son livre le SYNDROME DU BOCAL.

Il y décrit l’atteinte axonale très grave dont il a été victime, ainsi que le pronostic terrible de certains médecins. Et contre toute attente médicale, il développe la méthodologie personnelle qu’il a utilisée pour se remettre debout.

Une forme d’autohypnose, de positivisme et de visualisation du mouvement qu’il n’a jamais cessé de pratiquer.

C’est ce qu’il développe dans son livre dédié au syndrome de Guillain-Barré, LE SYNDROME DU BOCAL.

La fonction peut sans doute recréer l’organe.

…Jusqu’à preuve du contraire.